Transport de marchandises : développer les voies navigables et l’approche multimodale

… afin de réussir le défi climatique !

Repenser la mobilité : une nécessité

La mobilité, comme l’énergie, est une des composantes des questions liées au dérèglement climatique. Le transport est à lui seul responsable de 20% des émissions de CO2. Faut-il pour autant interdire voitures et motos, pénaliser ceux qui prennent la route, et obliger tout le monde à rouler à vélo ? Pour DéFI, une solution aussi caricaturale est inimaginable. Comment demander à qui que ce soit de renoncer à sa voiture, si aucune alternative ne lui est proposée ?
Oui, nous sommes au point de rupture du modèle actuel.
Oui, il nous faut d’urgence repenser nos déplacements.

Vers une mobilité fluide, responsable et efficace

Dans un monde idéal, la mobilité serait fluide et décarbonée. Pour tous les utilisateurs, les mots d’ordre seraient liberté, efficacité et responsabilité. Mais nous sommes loin de cette mobilité rêvée. Il est indispensable de repenser le transport de marchandises, qu’il se fasse par avion, par bateau, par rail ou par route, et l’intégrer dans une logique de consommation responsable et durable. La crise climatique nous oblige enfin à repenser nos déplacements. Et si nous saisissions l’occasion pour tendre un peu plus vers cet idéal de mobilité fluide, efficace et responsable ?

Pour DéFI, toute politique de mobilité doit être construite autour des besoins des usagers, avec réalisme et responsabilité. Le pouvoir public doit, avant d’imposer ou interdire, mettre en place les alternatives nécessaires au changement.   

Pour le transport de marchandises, il faut développer les voies navigables et favoriser l’approche multimodale.

DéFI estime que le transport de marchandises via le rail constitue un enjeu fondamental et que la part modale prise par le transport de marchandises par route doit progressivement glisser d’au moins 5 % à l’horizon 2035. La nécessité de disposer, voire de réhabiliter des gares de triage, se fera peut-être sentir.

DéFI estime qu’en dépit des besoins de mobilité qui peuvent paraître fort différents en Wallonie et à Bruxelles, la mobilité peut également être conçue comme moteur de développement économique. À cet égard , les deux Régions doivent se concerter afin que le fret ferroviaire puisse être relié de manière plus optimale aux aéroports et aux voies navigables (le Trilogiport de Liège constitue déjà un bon exemple, tout comme le Port de Bruxelles).

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Concrètement

Pour permettre un transport de marchandises plus durable, DéFI s’engage à…

Engagement

Augmenter la part du transport de marchandises par train de 7% d’ici 2040, au regard du transport par route, afin de diminuer le nombre de camions.

Engagement

Mettre sur pied un plan unifié d'optimisation du fret via les aéroports, voies navigables et rail, au sein de l'espace Wallonie-Bruxelles.

Engagement

Mettre sur pied un plan unifié d'optimisation du fret via les aéroports, voies navigables et rail, au sein de l'espace Wallonie-Bruxelles

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